27 octobre 2016

Ristretto, où comment j'ai déniché la dernière pépite des trattoria parisiennes

Ristretto a ouvert ses portes le 3 septembre dernier, et je peux d'ores et déjà vous dire qu'il va vite devenir le QG de tous les amateurs de bonne gastronomie made in Italy. C'est en cherchant une nouvelle adresse de brunch que j'ai jeté mon dévolu sur cette trattoria nichée place des Vosges, au doux nom de café italien.

Pourquoi le Ristretto ? Parce que sa localisation dans Paris en fait l'endroit idéal pour se retrouver entre copines, que sa terrasse offre un panorama plutôt sympathique entre galeries d'art et façades du XVIIe, que le café mais aussi la burrata sont à tomber par terre, et que la formule brunch est aussi simple qu'efficace. Je vous le donne en mille : pour 22€ mesdames messieurs, vous aurez droit à un thé/ café + un jus pressé bio +  le pain de la Maison Landemaine avec une crème de noisette bio + 1/2 bruschetta du jour avec antipasti + un petit chou de la maison Popelini.

Mais ce n'est pas tout.
Lorsque j'ai rencontré Guillaume, qui a repris l'affaire il y a seulement quelques semaines, j'ai appris que tous les produits étaient triés sur le volet et les commandes passées directement auprès des fournisseurs, en Italie. On est donc sur des produits d'une grande qualité, le plus possible non transformés pour préserver leur authenticité, et sur un circuit d'approvisionnement court permettant une offre de produits ultra frais.

La burrata, par exemple : elle nous vient tout droit des Pouilles, et plus précisément de chez Terra Candido, célèbre pour ses produits de qualité issus de méthodes artisanales transmises de génération en génération. Elle était d'une finesse incroyable, ça fondait presque dans la bouche...

[Note : Terra Candido c'est aussi une boutique rue Bichat à Paris, si vous voulez prolonger l'expérience ou simplement goûter leurs produits.]

Que dire des antipasti, à savoir les olives siciliennes Nocellara del Belice, les artichauts à l'huile d'olive, le parmesan affiné 24 mois, le caviar d'aubergine fait maison ou encore le jambon blanc venu de Parme, si ce n'est que mes papilles ne s'en remettent toujours pas.

D'ailleurs, sachez que Ristretto dispose également d'un petit stand épicerie où vous pourrez vous procurer quelques uns des produits phares de la carte, comme la crème de noisette bio du Piémont (8,90€ les 212 g), la crème de poivrons jaunes (8,50€ les 180 g) ou encore les Amaretti (6,90€).

Si vous n'êtes pas très brunch, je vous conseillerais de venir goûter la soupe maison, qui m'a fait de l’œil tout au long du repas (ok, j'ai un peu louché sur la table d'à côté...) Les soupes sont préparées le matin même selon l'humeur du chef (le fameux Guillaume, aux multiples facettes) avec, sans surprise, des produits frais et de saison. Pour vous donner un petit aperçu :


Si ça, ça ne vous donne pas envie, je ne sais plus quoi faire pour vous ;-)

Je vous laisse à présent saliver sur les images de mon brunch, si cela devait finir de vous convaincre d'empoigner votre téléphone pour réserver votre petit coin de paradis !

Café, jus d'orange pressé bio et tartines à la crème de noisettes bio @Ristretto Paris
Bruschetta à la burrata et antipasti @Ristretto Paris

Choux Popelini à la crème framboise & rose et au chocolat @Ristretto Paris


L'image de la faim :-)

Ristretto Paris 
24 place des Vosges
75 004 Paris
Tél : 01.70.82.80.23 (réservation obligatoire pour le brunch)
Ouverture du mardi au samedi de 11h à 2h, et le dimanche de 9h à 17h
Retrouvez Ristretto sur Facebook & Instagram

22 octobre 2016

A la découverte de La ferme des peupliers, et de leurs yaourts au bon lait de vache !

Il y a quelques jours, à l'occasion d'un petit déjeuner organisé par une agence de presse au Season, j'ai découvert les yaourts de La ferme des peupliers.
Je n'y avais jamais goûté, ni même entendu parler. Je me suis donc rendue à ce petit-déjeuner sans savoir à quoi m'attendre, et avec l'envie d'en savoir un peu plus sur ces petits pots de yaourts.

C'est ainsi que j'ai fait la connaissance de François Chedru, celui qui a repris la ferme des peupliers en 2007. J'ai longuement échangé avec lui, et j'ai découvert un homme passionné (de ses vaches, de ses produits, de son terroir, du mieux manger) et aux multiples facettes : d'abord vétérinaire, il devient fabricant d'aliments du bétail avant de reprendre la ferme des peupliers, située dans la jolie commune de Flipou en Normandie, entrainant avec lui sa famille.

Sa motivation ? Prouver que la production de produits laitiers est possible autrement, et redonner aux produits leur "vrai" goût, un goût typique de lait de vache. Je m'explique.
Aujourd'hui, tout le monde sait que l'industrie agroalimentaire fonctionne sur un mode de production intensif, et que les unités de production de produits frais (on va rester sur l'exemple du lait, puisque c'est ce qui nous intéresse aujourd'hui) sont souvent éloignés des lieux de transformation. Selon François Chedru, c'est cet éloignement qui serait la cause de la dégradation qualitative des produits laitiers, devenus pour la plupart sans typicité et sans goût.

C'est en réponse à cette dégradation irréversible que cet homme a eu l'idée, ou plutôt devrais-je dire l'intime conviction, de reprendre la ferme des peupliers pour en faire un lieu de production de lait de vache et de transformation en yaourt en circuit court. En gros, il a remis au goût du jour la méthode traditionnelle, en opposition à toutes ces méthodes aujourd'hui couramment employées pour refroidir le lait à une température constante jusqu'à sa transformation (càd plusieurs jours plus tard). 

Alors c'est bien beau tout ça, mais concrètement, ça donne quoi ?
Et bien ça donne des yaourts au goût incomparable.

J'en profite pour ouvrir ici une parenthèse sur leurs circuits de distribution : si jusque-là les yaourts de La ferme des peupliers étaient destinés au circuit CHR, on peut maintenant les retrouver dans certaines GMS comme Franprix, et bientôt Monoprix. 

Ok, mais quel rapport avec une production en circuit court, me direz-vous.

D'abord, il y a le fait que le lait qui sort du pi de la vache est mis en cuve quelques heures seulement après la traite du matin. En cuve, le lait est mis à chauffer lentement au bain marie, pour préserver toutes ses qualités. Et hop, on le met en pot, où il va séjourner quelques heures en étuve à 43°C pour se transformer petit à petit en yaourt. Les yaourts ainsi créés peuvent en fonction des commandes partir le soir même ou le lendemain matin à travers la France. Difficile de faire plus frais !

Puis, il y a l'alimentation de la vache (j'aurais peut-être dû commencer par ça...). Loin d'être laissée au hasard, ici les vaches mangent local et sans OGM. J'ai même entendu dire qu'elles étaient confortablement installées et peuvent s'allonger sur un tapis de paille sous lequel a été placé un matelas moelleux en caoutchouc... C'est beau la vie de vache à la ferme des peupliers !
Là encore, on peut en tirer les mêmes conclusions quant à la qualité des produits.

Mais revenons à nos moutons (nos yaourts).
Vous êtes peut-être comme moi, vous ne jurez que par les yaourts 0% pour pouvoir craquer sans culpabiliser sur le paquet de pépito. Alors je vous invite à faire ce que j'ai fait pour la première fois depuis loooongtemps à ce petit-déjeuner, c'est-à-dire goûter un yaourt au lait entier, au bon goût de crème, à la texture onctueuse. Un vrai yaourt en fait !

La gamme proposée est assez large, puisque l'on a du nature, du fruité, du chocolaté, du café ou plus original, du gâteau de semoule. Et tous ces yaourts on été primés au moins une fois au Concours Général Agricole de Paris. Oui madame.

Et cerise sur le yaourt (oulala je suis en forme), on peut la visiter, cette ferme des peupliers.
Elle est située à seulement 93 km de Paris et propose tout au long de l'année des visites libres et gratuites ou groupées et commentées (toutes les informations sont ici).

L'équipe est très sympathique, raison de plus pour aller leur faire un coucou !



19 octobre 2016

Emincé de magret de canard rôti, navets braisés à l'orange

Voici une nouvelle recette que Cook'n box m'a demandé de revisiter, dans le cadre de notre partenariat. Ceux qui ont acheté la box du 10 octobre ont d'ailleurs eu l'occasion de la tester;-)
Cook'n box, pour ceux qui ne connaitraient pas encore (ce n'est pas faute de vous en parler à chaque post en ce moment !) ce sont des box livrées chez vous, contenant pile ce dont vous avez besoin pour cuisiner pendant 4 jours (autrement dit, les ingrédients sont pré-dosés, pour 2 ou 4 personnes, pour 4 repas). Pas besoin de vous creuser la tête, les menus sont déjà élaborés pour vous et respectent les règles de l'équilibre alimentaire, à savoir, consommer une viande/ un poisson/ une légumineuse par semaine (+ un plat végétarien). Et croyez-moi, on y prend goût à ces petites box !
Car en plus de manger sain et varié, on apprend plein de recettes et de techniques.

J'ai choisi de publier cette recette de magret de canard car je n'ai pas l'habitude d'en faire, alors que c'est tellement bon... Et que dire des navets, si ce n'est que c'était une grande première pour moi ! Allez comprendre pourquoi, je me suis toujours dit que je n'aimais pas ça ;-)
Bref, c'est une des recettes Cook'n box avec laquelle je me suis le plus régalée (vous pouvez retrouver d'autres recettes Cook'n box ici) car je suis particulièrement fan de l'association sucré/ salé qui est faite et qui change un peu du canard à l'orange (même si on en retrouve un peu !)

J'ai rajouté du curcuma et un peu de paprika à la recette initiale, alors n'hésitez pas à la twister à votre façon vous aussi !

***

Préparation : 10 minutes
Cuisson : 35 minutes
Difficulté : facile

Ingrédients (pour 4 personnes)
- 2 pièces de magret de canard de 350 g
- 600 g de navets ronds
- 1 orange
- 2 c.s de miel
- 1 c.c de curcuma
- 20 g de beurre
- 4 pincées de cardamome
- sel fin & poivre du moulin

Préparation de la recette 

1/ Épluchez les navets et coupez-les en quartiers. Pressez l'orange pour en récolter le jus. 
Disposez dans une casserole d'eau froide à hauteur les navets et faire bouillir. Égouttez après 1 minute. Recommencez cette étape une fois. 

Le fait de "blanchir" le navet (c'est-à-dire le mettre dans une casserole d'eau froide à hauteur et faire bouillir) permet d'adoucir le goût du navet et le rendre moins amer. 

2/ Dans une poêle, faite cuire le beurre, la cardamome, le miel et le jus d'orange. Dès que le mélange devient sirupeux, ajoutez les navets et les cuire à feu moyen jusqu'à ce qu'ils soient fondants (environ 6 minutes), en ajoutant le curcuma en fin de cuisson. Réservez et conservez le jus de cuisson.

3/ Quadrillez la peau grasse du magret de canard sans entailler la chaire. Assaisonnez de sel et de poivre.

4/ Dans une poêle froide, posez la peau du magret contre la surface de la poêle et commencez la cuisson à feu moyen pendant 6 minutes (pendant cette étape le magret va perdre environ 60% de sa graisse !). Sans ôter la matière grasse, retournez, baissez le feu et terminez la cuisson 4 minutes.
Retirez le magret de la poêle, et réservez-le dans une assiette pendant 5 à 6 minutes. 

Cette étape va permettre à la chaire de se détendre, et de faire circuler le jus de viande à l'intérieur du magret.

5/ Émincez le magret en tranches d'environ 1 cm d'épaisseur.
Dressez dans une assiette les navets, les tranches de magret, et terminez en arrosant de jus de cuisson. 

Bon appétit !




12 octobre 2016

Far breton aux pruneaux et aux cerises griottes

C'est un dessert que j'adore réaliser, et pourtant je n'ai jamais pensé à vous poster la recette.
Il y a des desserts comme ça, que l'on fait par habitude en deux temps trois mouvements, auxquels on ne pense pas forcément à publier sur un blog. Ce far breton en est un bel exemple ; et comme cela faisait une éternité que je n'en avais pas fait (et oui, à force de rechercher des recettes qui sortent de l'ordinaire, on en oublierait presque les bons vieux basiques...) cela m'est soudainement apparu comme un oubli auquel il fallait vite remédier.

J'ai eu l'idée du far breton car il me restait des griottes au kirsch, que je n'avais jamais utilisées depuis ma commande chez Cook Only. Ne sachant pas tellement comment les utiliser, j'ai eu l'idée du dessert phare de mon enfance (sans mauvais jeu de mot), en remplaçant les quelques gouttes de rhum par le kirsch qui a servi à faire macérer les griottes. Encore une fois, rien ne se perd, tout se transforme ;-)

Et comme j'avais "peur de manquer" de fruits dans mon far (bah oui, j'aurais eu l'air maline de servir une part sans fruit !) j'ai rajouté quelques pruneaux. Comme je n'avais plus exactement la recette en tête, et en toute transparence, je n'ai pas pris de risque et ai suivi celle d'Anne de Papilles et pupilles.
Bien m'en a pris, je crois que c'est le meilleur far breton que j'ai réalisé jusque-là !
Texture parfaite, sucré juste ce qu'il faut, on n'en a pas laissé une miette - ou plutôt une griotte.
J'ai juste ajusté le temps de cuisson, car il faut quand même que le far se tienne (ce qui n'était pas le cas du mien au bout de 45 minutes).

Enfin, ce qui est top avec ce dessert, c'est qu'il se conserve très bien plusieurs jours au frigo. Je dirais même, il fait parti de ces plats qui sont meilleurs le lendemain... De quoi vous faire une semaine de far breton en solo ou en duo (non, je vous jure on ne s'en lasse pas), ou régaler l'assistance avec ce dessert au sérieux "goût de reviens-y", comme on dit. Sur cette belle expression, je n'ai plus qu'à laisser place à la recette et à vous souhaiter un bon appétit !

***

Préparation : 10 minutes
Cuisson : 1h
Difficulté : très facile

Ingrédients (pour 6 personnes) :
- 5 œufs
- 100 g de sucre
- 80 g de farine  
- 1/2 litre de lait 1/2 écrémé tiède 
- 15 g de beurre
- 1 bocal de griottes au kirsch
- 150 g de pruneaux dénoyautés 

Préparation de la recette 

1/ Préchauffez votre four à 175°C.
Cassez les œufs dans un saladier, ajoutez le sucre, et mélangez. Ajoutez la farine et le lait tiédit (1 minute au micro-ondes suffit). Terminez en ajoutant le kirsch contenu dans le bocal de vos griottes. 

2/ Beurrez votre moule. Déposez uniformément les pruneaux et les griottes, puis versez votre pâte par-dessus. 

3/ Faites cuire environ 1h à chaleur tournante. Vérifiez la cuisson au bout de 45 minutes. Si la lame de votre couteau ressort sèche, vous pouvez sortir votre far du four. Autrement, poursuivez la cuisson. Et oui, tout l'art de ce dessert réside dans sa cuisson, qui peut se révéler capricieuse ;-)

Dévorez tiède ou refroidi !





8 octobre 2016

[Article sponsorisé] Asseyez-vous, je vous offre un petit café

Je n'ai pas vraiment l'habitude d'écrire des articles sponsorisés, et pour tout vous dire, c'est la première fois que je me jette à l'eau.
Ce qui m'a motivée, outre le fait de gagner un petit pécule, c'est de tester un nouveau format de contenu, et de vous faire découvrir autre chose que mes recettes. En somme, de vous faire découvrir une autre de mes facettes, celle de la commerciale qui sommeille en moi !
Plus sérieusement, et pour rassurer ceux qui ne souhaitent pas que Petit grain de sel se transforme en blog commercial, je tiens à préciser qu'en aucun cas je n'accepterai de publier du contenu pour publier du contenu, c'est-à-dire sans que je n'y trouve un intérêt en phase avec ma ligne éditoriale.
J'ai donc mûrement réfléchi avant de me lancer !

Cette petite parenthèse refermée, rentrons dans le vif du sujet.
Pour ceux qui tiennent un blog et se demandent comment j'en suis arrivée là, la réponse se trouve du côté d'une plateforme de monétisation appelée SeedingUp.
Pour aller plus loin, je vous invite à consulter l'article (sponsorisé !) de Mia du blog Trucs de blogueuse, qui vous explique tout de A à Z.

Pour inaugurer ma nouvelle thématique, nous allons parler de café. Ou plutôt, de machine à café.
Je ne vous l'ai peut-être jamais dit, mais le café et moi, c'est comme le vin et moi, une vraie histoire d'amour.  C'est donc tout naturellement que la thématique m'a séduite, et que j'ai commencé à potasser mon sujet.

La machine à café en question, c'est la Melitta Cafeo Solo  :

Son design moderne en fait une machine simple d'utilisation et qui se concentre sur l'essentiel : vous faire un bon café, avec le café en grains pur Arabica proposé sur le site de Café Privilège.

Avec ses 20 cm de large seulement, la Melitta Cafeo Solo est la machine à café la plus "mince" de sa catégorie. Idéal pour les petites cuisines qui n'aiment pas l'encombrement !

Son petit plus ? Les multiples combinaisons offertes : à vous le choix de la force, de la température et de la quantité d'eau de votre café, selon vos humeurs de la journée. Sans oublier la fonction de pré-humidification de la mouture, qui permet de libérer pleinement tous les arômes du café.

Enfin, que vous soyez expresso ou grande tasse de Latte Macchiato, le bec d'écoulement est réglable pour répondre à toutes les envies.

Pour le prix, compter 390€, en vente sur le site de Café Privilège.
Une belle idée de cadeau pour combler un aficionado, à en croire les sites de comparateurs !

Et voilà, c'est tout pour aujourd'hui ;-)
Je vous souhaite une belle journée, à très bientôt !

4 octobre 2016

Penne au pesto de roquette, tomates et jambon cru

Il y a quelques semaines déjà, j'ai remis le couvert avec Cook'n box (vous vous souvenez, je vous en parlais ici) pour participer à l'élaboration de leurs box du mois d'octobre. 

Lors de ma première expérience avec l'équipe de Cook'n box, on m'avait demandé de créer quatre recettes pour leur box de Noël, et je m'étais prêtée au jeu avec une émulation toute particulière, puisque c'était la première fois que j'élaborais des recettes qui allaient ensuite être relayées sur un site marchand. Et qui plus est, il fallait mettre les petits plats dans les grands et proposer des recettes dignes de figurer sur une table de fête, tout en restant simples et réalisables en 30 minutes chrono. 

Ce petit défi personnel relevé, c'est avec un autre challenge que Cook'n box est revenu vers moi cet été : revisiter les plats du chef qui avait concocté leurs toutes premières recettes, en 2015. 
Challenge accepted ! 

C'est donc pour cela que je suis un peu moins bavarde ces dernières semaines sur le blog et sur ma page Facebook, ce petit travail de cuisinier amateur me prends pas mal de temps (et ça tombe bien, j'adore ça). J'inaugure donc ma série de recettes revisitées par ces penne au pesto de roquette, tomates et jambon cru, qui étaient à la base des penne au pesto alla Genovese (ie au basilic), tomates et jambon cru. Oui, j'ai commencé léger en terme de revisite, mais je vous promets ça va monter crescendo ^^.

Rien de bien sorcier dans l'élaboration du pesto de roquette (j'allais me lancer dans un pesto de fanes de carottes, et puis en fait non), et vous verrez, c'est tellement différent des sauces industrielles que vous direz bientôt bye bye à Panzani et Barilla ;-)

Je vous laisse donc découvrir cette recette et vous dis à très vite pour la suite ! 

***

Préparation : 15 minutes
Cuisson : 10 minutes
Difficulté : facile

Ingrédients (pour 4 personnes)
- 500 g de penne
- 1 botte de basilic
- 60 g de pignons de pin
- 60 g de parmesan râpé
- 2 pièces de gousse d'ail
- 20 cl d'huile d'olive
- 4 tranches de jambon cru de Parme
- 200 g de tomates cerises
- 80 g de tomates confites
- Gros sel
- sel fin et poivre du moulin

Préparation de la recette

1/ Épluchez l'ail, et coupez-le en deux pour le dégermer.
Lavez et effeuillez le basilic. Dans un mixeur, disposez les feuilles de basilic, le parmesan, les pignons, l'ail et l'huile d'olive. Mixez pour obtenir une pâte homogène.

2/ Dans une casserole d'eau bouillante salée, cuire les pennes al dente (8 à 10 minutes). Pendant ce temps, lavez et coupez les tomates cerises et les tomates confites en 2. 

3/ Égouttez les pâtes, et mélangez-les au pesto. 
Dressez les pâtes dans des assiettes creuses, déposez par-dessus les tomates cerises, les tomates confites, et terminez avec les pétales de jambon cru.

Note : s'il vous reste du pesto que vous n'avez pas utilisé, vous pouvez le disposer dans un bac à glaçon afin de le congeler, il se conservera 3 à 4 mois dans votre congélateur !